Du changement à Notre-Dame de Romorantin

Capture d’écran 2015-09-01 à 09.49.28Sœur Simone Ranger ayant pris sa retraite, l’institution Notre-Dame change de tête. Egalement issue de l’Union chrétienne de Saint-Chaumond, sœur Manuela Fernandes arrive de Poitiers. « Agréablement surprise » par la ville et l’établissement, elle apprécie le « très bon accueil » qui lui a été réservé.

Agée de 37 ans, elle a déjà une riche expérience dans l’enseignement catholique. Elle a dirigé pendant dix ans l’école poitevine Saint-Hilaire, comptant neuf classes de maternelles et primaires. Elle confie : « Après dix ans, c’est bien de changer ! Une nouvelle aventure commence ! »
A Notre-Dame, elle prend la direction du collège, assurera un mi-temps d’enseignement en CM2 ainsi que trois heures de cours d’histoire-géographie aux 6e. Un planning bien chargé d’autant que les élèves seront près de 80 en primaire et plus de 220 au collège. Des effectifs plutôt stables.
Sœur Manuela Fernandes pourra compter sur trois autres religieuses : sœur Jean (responsable de communauté) et sœur Ana-Cristina (responsable de la cuisine), qui arrivent aussi cette année, et sœur Michèle Urberro, qui reste à la tête de l’école primaire de Notre-Dame du Mail.
La nouvelle directrice pourra aussi s’appuyer sur Adrien Mallet, professeur de technologie, qui devient adjoint de direction ainsi que sur l’ensemble de la communauté éducative comptant une vingtaine d’enseignants : « Elle est très motivée, les projets sont nombreux. Sont prévus, un stage de voile pour les 6e, un voyage à Belle-Île pour les 5e, en Espagne pour les 4e et à Verdun pour les 3e », souligne sœur Fernandes.
Elle décrit également : « Nous mettons en place une vraie vie scolaire pour gérer les présences et les absences mais aussi pour guider les élèves, avec Jean-Marc Tauvron et Sylvie Guillemoz, comme CPE ». La nouvelle directrice a aussi initié un conseil de pastorale, dont « l’objectif est de faire le lien avec la paroisse ». Que de nouveautés !
Entrée dans les ordres à l’âge de 18 ans, sœur Fernandes souligne : « C’est passionnant de faire grandir l’enfant dans sa globalité, intellectuellement spirituellement. C’est une belle et une lourde mission. »

Texte et photo La Nouvelle République

BOUTONLIEN

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